Kyodo News de ce jour (7 mai) diffuse l'information selon laquelle un "groupe civil" aurait constaté à partir de documents officiels que plus de 20 écoles Japonaises de la ville de Koriyama (1) comportaient un ou plusieurs hotspots au niveau de leurs terrains. La nouveauté ne tient pas tellement dans la découverte de points chauds radioactifs que nous connaissons et diffusons depuis longtemps mais plutôt dans le fait que l'information devienne trop "encombrante" pour être court-circuitée comme elle l'est habituellement par les médias nationaux Japonais.
L'existence de ces points chauds aurait été découverte par un groupe informel de citoyens qui a étudié des documents municipaux réclamés sous le couvert de la liberté de la diffusion des documents administratifs ; ces relevés reprenaient les résultats d'une campagne de mesure de doses ambiantes effectuée en janvier 2012 au niveau des écoles secondaires et de maternelles implantées dans la ville de Koriyama. Les débits de doses constatés étaient tous supérieurs à 20 mSv/an.
(1) Les villes de Koriyama, 50 Km à l'Ouest, 325.000 habitants et Fuksuhima-city, 350.000 habitants, 60 Km au Nord-Ouest de la centrale accidentée semblent avoir été bien plus touchées par les retombées radioactives que ce que les autorités Japonaises déclarent habituellement
Sources :
Kyodo News, 07/08, anglais
ex-skf, 6/5, anglais
Lire également : "A Koriyama, le péril invisible", Japonation.com, 7/6/2011
L'existence de ces points chauds aurait été découverte par un groupe informel de citoyens qui a étudié des documents municipaux réclamés sous le couvert de la liberté de la diffusion des documents administratifs ; ces relevés reprenaient les résultats d'une campagne de mesure de doses ambiantes effectuée en janvier 2012 au niveau des écoles secondaires et de maternelles implantées dans la ville de Koriyama. Les débits de doses constatés étaient tous supérieurs à 20 mSv/an.
(1) Les villes de Koriyama, 50 Km à l'Ouest, 325.000 habitants et Fuksuhima-city, 350.000 habitants, 60 Km au Nord-Ouest de la centrale accidentée semblent avoir été bien plus touchées par les retombées radioactives que ce que les autorités Japonaises déclarent habituellement
Sources :
Kyodo News, 07/08, anglais
ex-skf, 6/5, anglais
Lire également : "A Koriyama, le péril invisible", Japonation.com, 7/6/2011
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