Les scientifiques Japonais du JAMSTEC (1) ont été étonnés quand ils ont découvert que certains tremblements de terre présentaient une phase de rupture de la croûte terrestre estimée entre 30 et 100 secondes, contre une ou deux secondes dans un régime de séisme "normal".
Des tremblements de terre de "basse fréquence"
Dans un papier publié dans British Nature Geoscience, l'équipe scientifique Japonaise présente son analyse qui tend à démontrer que ces séismes lents, constatés au niveau de la fosse de Nankaï (2) en 2009, sont non seulement très "mous" mais qu'ils concernent également des plaques tectoniques qui sont très peu profondes, ce qui pourrait expliquer pourquoi des secousses de basse intensité localisées en de tels points peuvent aboutir à la formation de tsunamis importants.
Les séismes étudiés se sont déroulés du 22 mars au 1er avril 2009 et ont été étudiés grâce à des sismomètres à large bande installés à Tanabe, sur la presqu'île de Wakayama.
(1) Japan Agency for Marine-earth Science and TEChnology
(2) 100 Km environ au Sud de la presqu’île de Wakayama jusqu'à la baie de Tokyo
Source : jijipress, 7/5, anglais
Des tremblements de terre de "basse fréquence"
Dans un papier publié dans British Nature Geoscience, l'équipe scientifique Japonaise présente son analyse qui tend à démontrer que ces séismes lents, constatés au niveau de la fosse de Nankaï (2) en 2009, sont non seulement très "mous" mais qu'ils concernent également des plaques tectoniques qui sont très peu profondes, ce qui pourrait expliquer pourquoi des secousses de basse intensité localisées en de tels points peuvent aboutir à la formation de tsunamis importants.
Les séismes étudiés se sont déroulés du 22 mars au 1er avril 2009 et ont été étudiés grâce à des sismomètres à large bande installés à Tanabe, sur la presqu'île de Wakayama.
(1) Japan Agency for Marine-earth Science and TEChnology
(2) 100 Km environ au Sud de la presqu’île de Wakayama jusqu'à la baie de Tokyo
Source : jijipress, 7/5, anglais
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