Un employé tombe accidentellement dans une piscine de l'unité n°. 2 de San Onofre
L'opérateur SCE vient de révéler, avec bien du retard, qu'un employé aurait glissé vendredi avant de tomber dans une piscine du bâtiment-réacteur n°. 2 du site (l'incident des tubes concerne quant à lui l'unité n°.3). Le réacteur n°.2 était en cours de procédure de déchargement / rechargement de combustible ; les bassins et le well étaient en conséquence ouverts et communicants. D'après SCE, les deux incidents ne seraient pas liés. Le travailleur n'a pas été blessé mais aurait pu ingérer de l'eau radioactive. La piscine dans laquelle a eu lieu l'accident n'a pas été identifiée dans le communiqué (équipement ou combustible usé).
Ce nouvel accident confirme hélas l'analyse récente selon laquelle San Onofre serait un site "à problèmes".
L'opérateur SCE vient de révéler, avec bien du retard, qu'un employé aurait glissé vendredi avant de tomber dans une piscine du bâtiment-réacteur n°. 2 du site (l'incident des tubes concerne quant à lui l'unité n°.3). Le réacteur n°.2 était en cours de procédure de déchargement / rechargement de combustible ; les bassins et le well étaient en conséquence ouverts et communicants. D'après SCE, les deux incidents ne seraient pas liés. Le travailleur n'a pas été blessé mais aurait pu ingérer de l'eau radioactive. La piscine dans laquelle a eu lieu l'accident n'a pas été identifiée dans le communiqué (équipement ou combustible usé).
Ce nouvel accident confirme hélas l'analyse récente selon laquelle San Onofre serait un site "à problèmes".
EDIT (1800L) : Le travailleur n'aurait pas subi de contamination externe d'après l'opérateur mais il aurait malgré tout subi une décontamination externe (?) Aucune information en ce qui concerne une éventuelle contamination interne par ingestion. Le problème éventuel ne réside pas dans une exposition mais bel et bien à une contamination... (info NcTimes, 3/2, anglais)
(1830L) : d'après la NRC, l'incident ne lui aurait pas été signalé à temps au moyen de la procédure habituelle de report. L'opérateur se retranche derrière une dose minime d'irradiation du travailleur de 5 mRem soit 50 µSv ce qui le dégagerait, d'après lui, de tout rapport spécifique d'incident auprès de la NRC. Et toujours rien sur une éventuelle contamination interne subie...
(1830L) : d'après la NRC, l'incident ne lui aurait pas été signalé à temps au moyen de la procédure habituelle de report. L'opérateur se retranche derrière une dose minime d'irradiation du travailleur de 5 mRem soit 50 µSv ce qui le dégagerait, d'après lui, de tout rapport spécifique d'incident auprès de la NRC. Et toujours rien sur une éventuelle contamination interne subie...
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