Note : ces infos "non-confirmées" proviennent soit de correspondants anonymes se disant souvent employés directement ou indirectement par Tepco sur le site accidenté, soit de rapports d'habitants des régions contaminées, soit "d'experts" étrangers indépendants souvent farouchement hostiles au nucléaire. Ici, à gen4, ne rentrant dans aucune de ces catégories mais tenant à vous présenter une source d'information totalement alternative et partiellement contradictoire, nous vous livrons donc ces informations telles quelles, comptant sur vote sagacité pour y prêter une oreille attentive ou non.
Information non confirmée n°. 1 : la région de Tokyo aurait connu des pluies de cendres radioactives
Source : ex-skf
Crédibilité : 3/10
date : fin décembre 2011
Des Tokyoïtes auraient reporté sur tweeter d'étranges pluies d'une cendre blanchâtre d'origine inconnue. S'agit-il de neige "granuleuse" ou d'une véritable pluie de cendres provenant par exemple de l'incinération de quelques encombrantes substances dont on penserait pouvoir se "débarrasser" discrétement ? Notons enfin qu'à notre merveilleuse époque actuelle, même une "simple" chute de neige peut être radioactive...
Information non confirmée n°. 2 : le séisme du 1er janvier aurait provoqué de nouveaux rejets de la centrale accidentée
Source : ex-skf, mext, Tepco
Crédibilité : 6/10
date : 2/1/12
Les 2 tremblements de terre ayant touché la région de Fukushima le 1er janvier auraient déclenché de nouveaux dégagements de radioactivité sur le site de Fukushima-Daiichi. Une hypothèse plausible serait que les problèmes situés au niveau de la piscine n°. 4 (baisse significative du niveau d'eau) soit corrélés avec les vibrations engendrées par ce nouveau séisme. Pour mémoire, Tepco a procédé en mai 2011 à des travaux de renforcement sur la structure porteuse de la piscine, travaux qui sont l'indicateur manifeste d'un problème latent ou au moins d'une inquiétude à ce niveau.
Sur le plan technique, il faut bien reconnaître que l'emplacement des piscines de stockage SFP (1) et d'équipement (2) perchées à 30 m de hauteur sur les Réacteurs à Eau Bouillante n'est pas des plus judicieux dans un pays où les séismes sont fréquents et puissants...
Source : blogos (Japonais), fukushima-diary
Crédibilité : 3/10
Date : 27/10/11
Un journaliste indépendant Japonais, Teresawa Yu, reporte une conversation surréelle entre une manifestante anti-nucléaire et un policier devant la préfecture de Fukushima, le 27 octobre 2011. A une question posée par l'une des militantes à un représentant des forces de l'ordre en tenue, ce dernier aurait affirmé que : "Les rumeurs selon lesquelles des policiers auraient été touchés (décédés ?) par les radiations en intervenant sur la centrale de Fukushima sont exactes".
Remarquons qu'aucun bilan officiel ne décompte le nombre de personnes tuées directement ou indirectement par la catastrophe nucléaire de Fukushima. No comment.
Information non confirmée n°. 4 : des ambulances et des transports seraient intervenus en urgence sur le site le 6/1
Source : fukushima-diary
Crédibilité : 5/10
Date : 6/1/12
Le 6 janvier, la webcam située au carrefour de Tamoioka a enregistré le passage de nombreux véhicules de secours et d'incendie, sirènes hurlantes, ainsi que des autobus de transport de personnel. Tomioka se situe quelques kilomètres au Sud de Fukushima-Daiichi, près du site de Fukushima-Daini, dans la zone interdite et évacuée, ce qui exclut en principe les exercices ou les interventions de moyens d’urgence vitale en-dehors du site nucléaire tout proche.
Une chose est sûre : un convoi important s'est a priori bien déplacé en urgence dans la zone évacuée le 6 janvier, sans qu'aucune information ne soit communiquée officiellement.
Information non confirmée n°. 5 : la piscine réacteur n°.4 serait complètement vide
Source : blog kmasa924 (Japonais), fukushima-diary
Crédibilité : 2/10
Date : 1/1/12
Un employé de Tepco aurait signalé - sous couvert d'anonymat - qu'à la suite du séisme qui a touché le site de Fukushima-Daiichi le 1er janvier qu'une tuyauterie de circulation d'eau se serait brisée au niveau de la piscine de désactivation de l'unité n°. 4, ce qui aurait provoqué le siphonnage intégral des quelques milliers de m3 d'eau s'y trouvant. La même source indique que "la piscine serait actuellement en train de bouillir".
Les faits : Tepco a reconnu le 1er janvier que le niveau d'eau baissait de manière inexpliquée dans le réservoir alimentant la piscine de désactivation du réacteur n°. 4. Le problème n'était toujours pas identifié le 7/1 et la fuite se poursuivait à un rythme apparemment réduit. Il semble que le refroidissement de l'ensemble des piscines soit toujours assuré par des moyens externes, ce qui multiplie d'autant les problèmes de fuite sur un circuit de circulation précaire et bien plus long.
Information non confirmée n°. 1 : la région de Tokyo aurait connu des pluies de cendres radioactives
Source : ex-skf
Crédibilité : 3/10
date : fin décembre 2011
Des Tokyoïtes auraient reporté sur tweeter d'étranges pluies d'une cendre blanchâtre d'origine inconnue. S'agit-il de neige "granuleuse" ou d'une véritable pluie de cendres provenant par exemple de l'incinération de quelques encombrantes substances dont on penserait pouvoir se "débarrasser" discrétement ? Notons enfin qu'à notre merveilleuse époque actuelle, même une "simple" chute de neige peut être radioactive...
Information non confirmée n°. 2 : le séisme du 1er janvier aurait provoqué de nouveaux rejets de la centrale accidentée
Source : ex-skf, mext, Tepco
Crédibilité : 6/10
date : 2/1/12
Les 2 tremblements de terre ayant touché la région de Fukushima le 1er janvier auraient déclenché de nouveaux dégagements de radioactivité sur le site de Fukushima-Daiichi. Une hypothèse plausible serait que les problèmes situés au niveau de la piscine n°. 4 (baisse significative du niveau d'eau) soit corrélés avec les vibrations engendrées par ce nouveau séisme. Pour mémoire, Tepco a procédé en mai 2011 à des travaux de renforcement sur la structure porteuse de la piscine, travaux qui sont l'indicateur manifeste d'un problème latent ou au moins d'une inquiétude à ce niveau.
Sur le plan technique, il faut bien reconnaître que l'emplacement des piscines de stockage SFP (1) et d'équipement (2) perchées à 30 m de hauteur sur les Réacteurs à Eau Bouillante n'est pas des plus judicieux dans un pays où les séismes sont fréquents et puissants...
Information non confirmée n°. 3 : des policiers auraient été touchés (décédés ?) par les radiations à Fukushima-Daiichi
Source : blogos (Japonais), fukushima-diary
Crédibilité : 3/10
Date : 27/10/11
Un journaliste indépendant Japonais, Teresawa Yu, reporte une conversation surréelle entre une manifestante anti-nucléaire et un policier devant la préfecture de Fukushima, le 27 octobre 2011. A une question posée par l'une des militantes à un représentant des forces de l'ordre en tenue, ce dernier aurait affirmé que : "Les rumeurs selon lesquelles des policiers auraient été touchés (décédés ?) par les radiations en intervenant sur la centrale de Fukushima sont exactes".
Remarquons qu'aucun bilan officiel ne décompte le nombre de personnes tuées directement ou indirectement par la catastrophe nucléaire de Fukushima. No comment.
Information non confirmée n°. 4 : des ambulances et des transports seraient intervenus en urgence sur le site le 6/1
Source : fukushima-diary
Crédibilité : 5/10
Date : 6/1/12
Le 6 janvier, la webcam située au carrefour de Tamoioka a enregistré le passage de nombreux véhicules de secours et d'incendie, sirènes hurlantes, ainsi que des autobus de transport de personnel. Tomioka se situe quelques kilomètres au Sud de Fukushima-Daiichi, près du site de Fukushima-Daini, dans la zone interdite et évacuée, ce qui exclut en principe les exercices ou les interventions de moyens d’urgence vitale en-dehors du site nucléaire tout proche.
Une chose est sûre : un convoi important s'est a priori bien déplacé en urgence dans la zone évacuée le 6 janvier, sans qu'aucune information ne soit communiquée officiellement.
Information non confirmée n°. 5 : la piscine réacteur n°.4 serait complètement vide
Source : blog kmasa924 (Japonais), fukushima-diary
Crédibilité : 2/10
Date : 1/1/12
Un employé de Tepco aurait signalé - sous couvert d'anonymat - qu'à la suite du séisme qui a touché le site de Fukushima-Daiichi le 1er janvier qu'une tuyauterie de circulation d'eau se serait brisée au niveau de la piscine de désactivation de l'unité n°. 4, ce qui aurait provoqué le siphonnage intégral des quelques milliers de m3 d'eau s'y trouvant. La même source indique que "la piscine serait actuellement en train de bouillir".
Les faits : Tepco a reconnu le 1er janvier que le niveau d'eau baissait de manière inexpliquée dans le réservoir alimentant la piscine de désactivation du réacteur n°. 4. Le problème n'était toujours pas identifié le 7/1 et la fuite se poursuivait à un rythme apparemment réduit. Il semble que le refroidissement de l'ensemble des piscines soit toujours assuré par des moyens externes, ce qui multiplie d'autant les problèmes de fuite sur un circuit de circulation précaire et bien plus long.
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