D'après la chaine d'info Japonaise NHK, Tepco aurait prévu, suite à la demande insistante de la NISA, de mesurer les températures internes au niveau de l'unité n°. 2 par des moyens alternatifs et ce, dès demain. Les résultats devront parvenir à l'agence de sécurité Japonaise pour mercredi au plus tard. L'opérateur estime toujours que un ou plusieurs capteurs de température seraient défectueux au niveau de l'ex-réacteur n°. 2.
Tepco a par ailleurs confirmé qu'il ne croyait pas à une reprise du phénomène de fission nucléaire, les taux de gaz rares relevés n'ayant pas varié depuis environ 1 mois, date à laquelle un nouveau système de mesure de gaz rares a été installé (mesure sur filtre à charbon).
Tout en ignorant comment l'opérateur va pouvoir procéder à des mesures en zone hautement radioactive dans un délai aussi bref - alors qu'il aurait pu les mettre en mesure plus tôt - nous espérons donc obtenir d'autres données dès demain. Une chose est sûre : la pression de la NISA et des autorités sur l'opérateur semble se faire plus forte au fil des mois.
Source : NHK, 14/2, anglais
Tepco a par ailleurs confirmé qu'il ne croyait pas à une reprise du phénomène de fission nucléaire, les taux de gaz rares relevés n'ayant pas varié depuis environ 1 mois, date à laquelle un nouveau système de mesure de gaz rares a été installé (mesure sur filtre à charbon).
Tout en ignorant comment l'opérateur va pouvoir procéder à des mesures en zone hautement radioactive dans un délai aussi bref - alors qu'il aurait pu les mettre en mesure plus tôt - nous espérons donc obtenir d'autres données dès demain. Une chose est sûre : la pression de la NISA et des autorités sur l'opérateur semble se faire plus forte au fil des mois.
Source : NHK, 14/2, anglais
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