Un tiers des députés du parti majoritaire Japonais adresse une pétition à M. Noda
Un député sur trois du PDJ, le propre parti de M. Noda, vient de présenter ce jour au Premier ministre Japonais une requête visant à l'inviter a être "extrêmement prudent" dans l'affaire du redémarrage des unités n°. 3 et 4 de la centrale nucléaire d'Ohi, dans l'Ouest du Japon. Les pétitionnaires développent dans leur appel le fait qu'à la suite de nombreux sondages, une majorité d'habitants concernés se dit prête à faire les efforts de consommation nécessaires (1) afin de se passer du redémarrage des réacteurs nucléaires.
Des accords désaccordés
Le texte de la requête précise également que leur formation politique, le Parti Démocratique Japonais, n'a ni obtenu le consensus nécessaire en son sein ni l'approbation des 160.000 Japonais affectés par la catastrophe de Fukushima-Daiichi ; les députés invitent en conséquence M. Noda a être "extrêmement prudent vis-à-vis d'une décision de remise en service des réacteurs."
M. Noda seul face à ses responsabilités
Tandis que M. Satoshi Arai, ancien ministre de la stratégie nationale estimait que le gouvernement avait échoué dans ses tentatives de conciliation des autorités locales, nous apprenions que M. Issei Nishikawa, le gouverneur de la préfecture de Fukui, où les installations d'Ohi sont établies, avait déclaré hier : "Il est de la seule responsabilité de M. Noda de déclarer que les réacteurs doiventt être relancés". Autrement dit, que le gouverneur de Fukui se posait toujours lui-même la question de cette pertinence, malgré les assurances renouvelées par les autorités nationales.
(1) Efforts relativement modestes estimés à environ 15% du pic de consommation de la période estivale
Sources :
Asahi Shimbun, 5/6, anglais
Japan Times, 5/6, anglais
Un député sur trois du PDJ, le propre parti de M. Noda, vient de présenter ce jour au Premier ministre Japonais une requête visant à l'inviter a être "extrêmement prudent" dans l'affaire du redémarrage des unités n°. 3 et 4 de la centrale nucléaire d'Ohi, dans l'Ouest du Japon. Les pétitionnaires développent dans leur appel le fait qu'à la suite de nombreux sondages, une majorité d'habitants concernés se dit prête à faire les efforts de consommation nécessaires (1) afin de se passer du redémarrage des réacteurs nucléaires.
Des accords désaccordés
Le texte de la requête précise également que leur formation politique, le Parti Démocratique Japonais, n'a ni obtenu le consensus nécessaire en son sein ni l'approbation des 160.000 Japonais affectés par la catastrophe de Fukushima-Daiichi ; les députés invitent en conséquence M. Noda a être "extrêmement prudent vis-à-vis d'une décision de remise en service des réacteurs."
M. Noda seul face à ses responsabilités
Tandis que M. Satoshi Arai, ancien ministre de la stratégie nationale estimait que le gouvernement avait échoué dans ses tentatives de conciliation des autorités locales, nous apprenions que M. Issei Nishikawa, le gouverneur de la préfecture de Fukui, où les installations d'Ohi sont établies, avait déclaré hier : "Il est de la seule responsabilité de M. Noda de déclarer que les réacteurs doiventt être relancés". Autrement dit, que le gouverneur de Fukui se posait toujours lui-même la question de cette pertinence, malgré les assurances renouvelées par les autorités nationales.
(1) Efforts relativement modestes estimés à environ 15% du pic de consommation de la période estivale
Sources :
Asahi Shimbun, 5/6, anglais
Japan Times, 5/6, anglais
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