Tepco injecte actuellement 13m3/h dans "le trou" de l'unité n°. 2
L'opérateur de l'ex-centrale de Fukushima-Daiichi vient de passer le volume d'eau injectée de 10.5 à 13.5 m3/h après une première augmentation de 7.5 à 10.5 m3/h ces derniers jours. Cette décision a été prise après la constatation d'une élévation notable de la température d'au moins un des capteurs de température entourant l'ex-réacteur n°. 2. "Il est délicat d'estimer si la température monte ou descend en ce moment précis, nous y verrons sûrement un peu plus clair dans 24h" a déclaré Matsumoto.
Le niveau d'injection n'a jamais été aussi élevé alors que Tepco espérait tout au contraire pouvoir restreindre les quantités d'eau utilisées dans le circuit afin de tenter de réduire les stocks d'eau contaminée qui s'accumulent un peu partout. La situation de ces stocks est actuellement estimée à environ 100.000 tonnes.
Hosono estime quant à lui que les travaux récents ont "détraqué" la stabilité de la situation
C'est à l'évidence un pur mensonge, une tentative désespérée de tenter de rejeter une nouvelle fois la responsabilité du gouvernement Japonais sur l'opérateur. Ce n'est pas honnête ! Ce n'est pas franc ! La situation n'a jamais été stable à Fukushima-Daiichi, l'opérateur a dit sans conviction ce que les ministres voulaient entendre, Tepco a été faible et le gouvernement Japonais totalement inconscient de la situation réelle. Cette situation est totalement illogique dans un Japon traditionnellement assez responsable et sachant tirer facilement les leçons de ses erreurs passées. Le Japon a perdu une partie de sa beauté physique dans l'accident - regardez les images de végétation "roussie" dans les environs du site, il va perdre une partie de sa beauté morale en poursuivant son occidentalisation à marche forcée au-delà du raisonnable (1).
Hosono-San estime vraisemblablement que les travaux effectués sur le confinement - il vise probablement l'endoscopie récente que le gouvernement a pourtant instamment réclamée - auraient pu dégrader l'état de l'unité n°. 2. La vérité est que ce n'est pas l’endoscopie qui a changé grand chose - un petit trou de 2 cm - alors que le fond du confinement n°. 2 est probablement réduit depuis longtemps à l'état de passoire à nouilles chinoises.
(1) Occidentalisation initiée à la fin de l'ère Meiji vers 1910
L'opérateur de l'ex-centrale de Fukushima-Daiichi vient de passer le volume d'eau injectée de 10.5 à 13.5 m3/h après une première augmentation de 7.5 à 10.5 m3/h ces derniers jours. Cette décision a été prise après la constatation d'une élévation notable de la température d'au moins un des capteurs de température entourant l'ex-réacteur n°. 2. "Il est délicat d'estimer si la température monte ou descend en ce moment précis, nous y verrons sûrement un peu plus clair dans 24h" a déclaré Matsumoto.
Le niveau d'injection n'a jamais été aussi élevé alors que Tepco espérait tout au contraire pouvoir restreindre les quantités d'eau utilisées dans le circuit afin de tenter de réduire les stocks d'eau contaminée qui s'accumulent un peu partout. La situation de ces stocks est actuellement estimée à environ 100.000 tonnes.
Hosono estime quant à lui que les travaux récents ont "détraqué" la stabilité de la situation
C'est à l'évidence un pur mensonge, une tentative désespérée de tenter de rejeter une nouvelle fois la responsabilité du gouvernement Japonais sur l'opérateur. Ce n'est pas honnête ! Ce n'est pas franc ! La situation n'a jamais été stable à Fukushima-Daiichi, l'opérateur a dit sans conviction ce que les ministres voulaient entendre, Tepco a été faible et le gouvernement Japonais totalement inconscient de la situation réelle. Cette situation est totalement illogique dans un Japon traditionnellement assez responsable et sachant tirer facilement les leçons de ses erreurs passées. Le Japon a perdu une partie de sa beauté physique dans l'accident - regardez les images de végétation "roussie" dans les environs du site, il va perdre une partie de sa beauté morale en poursuivant son occidentalisation à marche forcée au-delà du raisonnable (1).
Hosono-San estime vraisemblablement que les travaux effectués sur le confinement - il vise probablement l'endoscopie récente que le gouvernement a pourtant instamment réclamée - auraient pu dégrader l'état de l'unité n°. 2. La vérité est que ce n'est pas l’endoscopie qui a changé grand chose - un petit trou de 2 cm - alors que le fond du confinement n°. 2 est probablement réduit depuis longtemps à l'état de passoire à nouilles chinoises.
(1) Occidentalisation initiée à la fin de l'ère Meiji vers 1910
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