L'arrêt de l'unité n°. 6 de la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa se fera le 26 mars.
L'arrêt de l'unité n°. 6 de la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa soldera - provisoirement ? - la production électronucléaire de l'opérateur Tepco.
L'arrêt de l'unité n°. 6 de la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa sera une victoire amère pour les Japonais, de plus en plus nombreux, qui estiment que la production d'énergie par ce moyen est polluante, risquée, plus chère, bref, bien moins attractive que ce que le lobby politico-industriel prétendait jusque là.
Le 26 mars, le monde entier aura les yeux tournés vers le Japon et particulièrement vers son gouvernement qui pourrait être le premier pays à jeter l'éponge électronucléaire à la suite des conséquences directes d'un accident majeur.
Le gouverneur de la préfecture de Niigata où se situe la centrale de Kashiwazaki-Kariwa, Hirohiko Izumada, a d'ores et déjà prévenu qu'il n'était pas question que la centrale redémarre en 2013, comme Tepco le souhaite, si toutes les conséquences de l'accident de Fukushima-Daiichi n'ont pas été "identifiées et examinées". Pour "identifier et examiner" le corium, ce sera dans 40 à 60 ans, autant pour le redémarrage de la production nucléaire de Tepco, et bon débarras !
Source : marketwatch.com, 9/2, anglais
L'arrêt de l'unité n°. 6 de la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa soldera - provisoirement ? - la production électronucléaire de l'opérateur Tepco.
L'arrêt de l'unité n°. 6 de la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa sera une victoire amère pour les Japonais, de plus en plus nombreux, qui estiment que la production d'énergie par ce moyen est polluante, risquée, plus chère, bref, bien moins attractive que ce que le lobby politico-industriel prétendait jusque là.
Le 26 mars, le monde entier aura les yeux tournés vers le Japon et particulièrement vers son gouvernement qui pourrait être le premier pays à jeter l'éponge électronucléaire à la suite des conséquences directes d'un accident majeur.
Le gouverneur de la préfecture de Niigata où se situe la centrale de Kashiwazaki-Kariwa, Hirohiko Izumada, a d'ores et déjà prévenu qu'il n'était pas question que la centrale redémarre en 2013, comme Tepco le souhaite, si toutes les conséquences de l'accident de Fukushima-Daiichi n'ont pas été "identifiées et examinées". Pour "identifier et examiner" le corium, ce sera dans 40 à 60 ans, autant pour le redémarrage de la production nucléaire de Tepco, et bon débarras !
Source : marketwatch.com, 9/2, anglais
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