Source : jijipress, 23/1, anglais
crédibilité globale de la source : 100%
Tepco a signalé le lundi 23 janvier qu'un accroissement significatif des fuites radioactives a été constaté au niveau des installations endommagées de Fukushima-Daiichi. La quantité totale de radio-césium relâchée chaque heure dans l'atmosphère serait passée d'une moyenne de 12 Millions (décembre) à 70 Millions de Becquerels par heure et par unité.
Soit un total de 3 * 70 = 210 MBq/h pour les 3 unités endommagées au niveau du confinement.
En décembre, les dégagements de radio-césium étaient estimés à 10 + 10 + 40 = 60 MBq/h.
L'opérateur estime que cette augmentation est due aux poussières relâchées suite aux travaux de déblaiement effectués sur certains bâtiments. Cette hypothèse est douteuse dans la mesure où les travaux importants ont surtout été effectués au niveau de l'unité n°. 4 dont les rejets de "terme source" (1) ne sont pas repris dans cette analyse. L'endoscopie effectuée au niveau de l'unité n°. 2 ne devrait pas avoir relâché énormément de radioactivité car le confinement de l'unité n°. 2 apparaît désormais comme très probablement endommagé ; Un trou de quelques cm de diamètre au plus ne devrait pas changer grand chose.
(1) terme source : quantité de rejets radioactifs d'une installation nucléaire, soit en fonctionnement normal, soit en phase accidentelle
crédibilité globale de la source : 100%
Tepco a signalé le lundi 23 janvier qu'un accroissement significatif des fuites radioactives a été constaté au niveau des installations endommagées de Fukushima-Daiichi. La quantité totale de radio-césium relâchée chaque heure dans l'atmosphère serait passée d'une moyenne de 12 Millions (décembre) à 70 Millions de Becquerels par heure et par unité.
Soit un total de 3 * 70 = 210 MBq/h pour les 3 unités endommagées au niveau du confinement.
En décembre, les dégagements de radio-césium étaient estimés à 10 + 10 + 40 = 60 MBq/h.
L'opérateur estime que cette augmentation est due aux poussières relâchées suite aux travaux de déblaiement effectués sur certains bâtiments. Cette hypothèse est douteuse dans la mesure où les travaux importants ont surtout été effectués au niveau de l'unité n°. 4 dont les rejets de "terme source" (1) ne sont pas repris dans cette analyse. L'endoscopie effectuée au niveau de l'unité n°. 2 ne devrait pas avoir relâché énormément de radioactivité car le confinement de l'unité n°. 2 apparaît désormais comme très probablement endommagé ; Un trou de quelques cm de diamètre au plus ne devrait pas changer grand chose.
(1) terme source : quantité de rejets radioactifs d'une installation nucléaire, soit en fonctionnement normal, soit en phase accidentelle
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